Sécurité automatisée: Regardez vos failles en face.
Les failles sont détectées 212 jours après leur introduction
Il faut en moyenne 212 jours pour détecter une faille de sécurité. Et au moins 50% des sites web contiennent une vulnérabilité critique. Vous en faites peut être partie.
Les tests d'intrusion, un moyen temporaire de détecter et fixer ses failles
Bien souvent, les failles de sécurité sont comme le monstre qui se cachaient sous notre lit étant enfant. Nous en avons peur sans oser les regarder en face. Un petit test d’intrusion nous rassure pour quelque temps comme les parents nous assurant qu’il n’y a rien. Mais ont-ils bien regardé ? Et les quelques monstres qu’ils ont chassés, sommes nous sûrs qu’ils ne reviendront pas demain ?
Il est nécessaire d'automatiser et de comprendre les causes des failles
Mon but est de démystifier les failles de sécurité en les considérant comme des défauts dont il faut fixer la cause profonde. Comme un testeur QA (Quality Assurance), l’expert cybersécurité vient vérifier au quotidien l’introduction de failles. Il aide à comprendre la cause de la faille et à mettre en place des moyens de protection en amont grâce à un outil Lean: le QRQC / Dantotsu.
Des outils pour détecter et éradiquer les vulnérabilités
En sortant de ce talk, vous aurez une méthode pour détecter et éradiquer les vulnérabilités sur vos projets grâce à trois axes:
- Avoir moins peur d’aller voir vos failles de sécurité
- Comprendre certains outils d'automatisation de cybersécurité
- Utiliser un outil Lean pour mieux analyser vos failles et mettre en place des contre-mesures durables automatiques
Marine du Mesnil
Head of Cybersecurity Tribe @Theodo, Marine du Mesnil s’intéresse tout particulièrement à la sécurité informatique et s’implique au sein de la guilde Sécurité de Theodo pour aider les développeurs à créer des produits conformes en les formant et en intervenant dans les différents projets. Elle suit particulièrement les publications de l’OWASP et s’intéresse tout particulièrement au contrôle d’accès, devenu la cause principale de faille sur les sites internets et placé au Top 1 du nouveau Top 10 de l’OWASP.